Kimberley Garner Has A Very Cheeky Marilyn Monroe Moment In Bright Red Dress

Kimberley Garner attended the Cocktails With Monroe exhibition in London on Monday night. We’re not quite sure how far she was meant to take her impression, but basically, we saw the whole of the moon.
The Made In Chelsea star turned heads even before she showed off her bottom in a stunning scarlet fit-and-flare dress for the private exhibition of images of Marilyn Monroe.

Celebrity Sightings In London - February 20, 2014Getty Images

She paired her flirty frock with gorgeous matching patent stilettos, and her lacy red underwear even seemed to match. This made us wonder – was her derriere display all part of the plan?
Lucky for her, she picked a very windy night for the exhibition (or did she take out her very own personal wind machine?).

kimberley-garnerWenn

Other stars at the event included Camilla Rutherford and Anneka Rice. But, let’s be honest, even Marilyn herself was fighting for attention…

FC Barcelona – SSC Napoli mercredi 6 août au Stade de Genève

FC Barcelona - SSC Napoli mercredi 6 août au Stade de Genève

Multimedia Sports, en collaboration avec Genève Sport SA et le Servette Football Club, a le plaisir de vous annoncer la tenue d’un match exceptionnel, qui opposera deux des plus prestigieuses équipes au monde, le Futbol Club Barcelona (FC Barcelone) et le SSC Napoli.

Ce match se déroulera le mercredi 6 août 2014 au Stade de Genève, et le coup d’envoi sera donné à 20h00.

Le FC Barcelone est sans conteste l’un des clubs les plus emblématiques de la planète. Avec ses 22 titres de champion d’Espagne, ses 26 coupes d’Espagne et ses 4 ligues des champions, il est doté d’un palmarès impressionnant. Dans le monde du football, FC Barcelone est un club emblématique qui détient des valeurs et une tradition uniques. Ce match au Stade de Genève sera une des premières occasions de voir Luis Enrique tout juste nommé entraineur à la tête des Blaugranas. L’intérêt de contempler l’équipe catalane composée des nouveaux joueurs transférés, ainsi que des stars de retour de la Coupe du Monde, sera donc à son apogée. Ce match est une excellente opportunité pour le FC Barcelone de préparer la saison 2014-2015 de la meilleure des manières contre une des équipes les plus prestigieuses d’Europe. C’est donc un beau défi qui attend les joueurs de Luis Enrique.

Le président du FC Barcelone, Josep Maria Bartomeu, se réjouit déjà du match et de la bonne atmosphère qui sera présente à Genève : “Le FC Barcelone jouera son match à Genève contre une équipe à grand potentiel et au passé historique, le SSC Napoli. Ce sera une excellente opportunité de former notre première équipe à l’image de Luis Enrique, en incluant les joueurs transférés, deux semaines avant le début de la saison. Le niveau de l’opposition, la qualité et l’engagement de nos joueurs, ainsi que l’ambiance dans le Stade, seront les ingrédients essentiels qui permettront aux supporters de profiter d’une soirée exceptionnelle”.

Società Sportiva Calcio Napoli, S.S.C. Napoli S.p.A., nommée SSC Napoli, a toujours été l’une des équipes les plus aimées du championnat italien. Un récent sondage des supporters a démontré que les fans du SSC Napoli sont à la 4ème place des fans les plus enthousiastes de leur équipe. Durant les 88 années d’histoire du club, le SSC Napoli a gagné de nombreux trophées nationaux et internationaux, dont deux Scudetti (Championnat de Serie A), quatre coupes d’Italie, une super coupe italienne et une coupe d’Europe UEFA Europa League.

La période la plus excitante de l’histoire du SSC Napoli remonte à la fin des années 1980 et coïncide avec la présence d’un des joueurs le plus connus au monde, Diego Armando Maradona, en provenance alors du FC Barcelone, et qui a évolué au club aux côtés de nombreuses stars comme Andrea Carnavale et Careca.

Le président du SSC Napoli, Aurelio De Laurentiis, souligne l’importance du match contre le FC Barcelone :
” SSC Napoli est très heureux de jouer à Genève contre une des équipes les plus compétitives et prestigieuses au monde, dans l’objectif de préparer la nouvelle saison. Avec ses nombreux supporters italiens, dont beaucoup viennent de Naples, Genève est un endroit parfait pour accueillir ce match. Pour les supporters suisses et pour les fans de sport, Naples donnera son meilleur sur le terrain. Et toutes nos stars participant à la Coupe du Monde, de Higuain à Hamsik, de Inler à Insigne, de Callejon à Mertens, ou d’autres encore, seront dûment motivées à jouer ce match.”

Le Stade de Genève sera donc une nouvelle fois l’hôte d’un grand rendez-vous, et les organisateurs de Multimedia Sports se réjouissent de pouvoir proposer une telle affiche à tous les amateurs de sport de la région genevoise. Ylan Singer, CEO de Multimedia Sports CEO : “Nous sommes très heureux d’avoir la possibilité d’organiser un match de football de cette qualité, comparable à n’importe quel match de l’UEFA Champions League. Nous sommes certains que les fans de football de Genève et de Suisse se réjouissent de voir les stars de football de ces deux équipes, et nous nous attendons à une magnifique ambiance et à un match fantastique”.

Comme le souligne Hugh Quennec, Président du Servette Football Club, ces événements sont importants pour le Stade et pour la ville de Genève. “C’est un grand honneur pour le Servette Football Club d’accueillir au Stade de Genève deux clubs aussi prestigieux que le Futbol Club Barcelona et le SSC Napoli. La communauté genevoise aura le privilège d’assister à une rencontre du plus haut niveau international. Nous sommes convaincus que cet événement continuera à faire de Genève une ville de référence dans le sport, et ce à l’échelle mondiale.”

Honda Suisse célèbre ses 40 ans avec une série exclusive limitée “Dark Racer”

Honda Suisse a présenté lors de Swiss-Moto, en février dernier, une série spéciale très limitée. La CB1100 Dark Racer est une moto «vintage» customisée et transformée en Café Racer de caractère. Ce véhicule, présenté en première Suisse, commémore l’époque où Honda – il y a 40 ans – importait ses premières motos en Suisse.

Dark Racer est le nom d’une série unique et limitée de la Honda CB1100, proposée exclusivement dans notre pays à l’occasion du 40ème anniversaire de Honda Suisse. Ce Café Racer évoque à la perfection l’époque à laquelle la fameuse société d’importation suisse de produits et véhicules Honda fut créée à Genève.

Une extrapolation de la CB1100

Commercialisée en Europe depuis 2013, la Honda CB1100 rappelle les années mémorables – fin soixante, début septante – au cours desquelles la CB750 Four révolutionna le monde de la moto. Animée par un quatre cylindres capable de monter à des régimes élevés, cette machine, entrée depuis dans la légende, a défini un nouveau standard toujours en vigueur aujourd’hui pour les Superbikes.

La Honda CB1100 associe le refroidissement à air de ses quatre cylindres avec les technologies modernes que sont l’injection d’essence et l’ABS. A l’instar de la CB750 Four, elle arbore une silhouette d’un classicisme intemporel, harmonieusement proportionnée et soignée jusque dans les moindres détails. Pour le millésime 2014, la CB1100 adopte une boîte de vitesses à six rapports, un réservoir de plus grande capacité et une instrumentation de bord comprenant davantage de fonctions.

Dark Racer

En version «Dark Racer», la CB1100 sort ses griffes et se pare d’un look Café Racer dont le dynamisme provocateur transparaît même à l’arrêt. Cette moto prend ses racines dans la contre-culture de la fin des années soixante, quand les rockers se rencontraient dans des cafés pour disputer des virées sauvages au guidon de motos préparées.

Honda Suisse a développé la «Dark Racer» exclusivement à l’intention de la clientèle suisse. Ce modèle commémoratif comprend diverses pièces spéciales, allant des garde-boues modifiés aux jantes noires à rayons en aluminium eloxé.

Afin d’obtenir le ronronnement adéquat, Honda Suisse a commandé au spécialiste «QD» un échappement spécial à la sonorité digne d’un Café Racer et, bien entendu, homologué. La selle solo, recouverte d’un très bel alcantara, a également été créée uniquement à l’intention de la CB1100 Dark Racer.

Un guidon bracelet au look «Clip On» a été développé pour garantir une allure dont la sportivité est soulignée également par les plaques repose-pieds rehaussées et le double combiné amortisseur Öhlins.

Toujours dans le respect du style en vogue à la fin des années soixante, le noir est particulièrement à l’honneur. Un noir laqué satiné, dont les graphismes commémorent le 40ème anniversaire.

 

X-FIGHTERS DE MUNICH : SHEEHAN AU DESSUS

Josh Sheehan a remporté la manche de Munich des X-Fighters alors que le rider Français, Tom Pagès, a chuté à la réception de son Bike Flip et se classe 3e du classemnt général provisoire du championnat.

Josh Sheehan a remporté sa première manche de la saison des Red Bull X-Fighters sur le lac de Munich. Il s’impose devant Taka Higashino et Levi Sherwood. Tom Pagès, qui a tenté de repasser son fameux Bike Flip, a malheureusement chuté à la réception et termine avec 45 points.

Même s’il ne reste plus qu’une seule manche au championnat des Red Bull X-Fighters, les 4 premiers du classement sont encore en lice pour remporter le titre. Pour rappel, l’an passé, c’était Tom Pagès qui été reparti avec le titre. Pour le moment, Levi Sherwood est en tête et seul Josh Sheehan, 2e peut s’offrir la couronne sans avoir besoin d’une chute du Néo-Zélandais.

En Freestyle, le gagnant d’une manche remporte 100 points, le 2e 80 points et le 3e 65 points. Tom Pagès accuse un retard de 75 points. Il peut donc remporter les X-Fighters pour la deuxième année consécutive, mais pour ce faire, il faudrait que Levi Sherwood se loupe complètement.

Le double back flip de Josh Sheehan. (Photo Red Bull)

Le double back flip de Josh Sheehan. (Photo Red Bull)

Sheehan et son double backflip

Non seulement, il le réussit à merveille mais en plus il est capable de le passer à trois reprises pendant la soirée. L’Australien Josh Sheehan maîtrise parfaitement ce double backflip qu’il est le seul au monde à réussir et génère le respect et l’admiration de tous. Car il ne se contente pas de cette figure exceptionnelle, il réalise des « tricks » nouveaux, comme le Flair.

« Je suis vraiment heureux d’avoir gagné cet événement car le niveau était encore une fois très élevé. J’avais déjà remporté les Red Bull X-Fighters à Sydney en 2011, mais cette victoire a une toute nouvelle saveur. J’ai construit mes runs de manière à passer le double backflip en milieu de session car il me demande une telle énergie, je me mets une telle pression, qu’une fois qu’il est réalisé je suis libéré. La fin de saison va être très intense puisqu’à la veille de la dernière épreuve en Afrique du Sud, je ne suis plus qu’à cinq points de Levi Sherwood, qui mène le Tour. »

Deuxième, le Japonais Taka Higashino a lui aussi réalisé une superbe prestation avec sa nouvelle figure le Takaroll. Et pourtant, tout avait assez mal commencé.

« Je suis le seul à avoir fait tomber ma moto dans l’eau, pendant les essais ! », explique-t-il dans un grand éclat de rire. « Je changeais le réglage de ma machine, je ne regardais plus la piste et je suis tombé. J’ai senti la moto glisser et je l’ai vue s’enfoncer tout doucement dans l’eau ! Blague à part, je suis vraiment satisfait de terminer sur la seconde marche du podium ! »

Le podium des Red Bull X-Fighters de Munich. (Photo Red Bull)

Le podium des Red Bull X-Fighters de Munich. (Photo Red Bull)

DEEP PURPLE AU FESTIVAL GUITARE EN SCÈNE

Pour son ouverture, vendredi 18 juillet, le festival braque ses poursuites sur la surprise blues française de l’année, Thomas Schoeffler, un artiste qui impressionne par son énergie et son intensité. Présent également le charismatique et talentueux duo franco-australien, Mountain Men, qui chamboule la planète Blues avec ses concerts entre groove et émotion. Puis, accompagnée de son big band, Ana Popovic, le phénomène blues venue de Serbie, surnommée la “Hendrix au féminin” fera vibrer le grand chapiteau.
Samedi 19 juillet, le festival Guitare en scène prendra des airs plus rock avec le phénomène australien Airbourne. Au programme, du gros son qui envoie, de l’énergie pure, des solos de guitare et un hard-rock à la mesure de l’événement. Vous pourrez ensuite apprécier le pur hard-rock from Switzerland de Sideburn, dont le dernier album “Electrify” vient de sortir. Le groupe suisse sera suivi par l’Américain Eric Sardinas, connu et reconnu pour son look de cowboy des temps mordernes mais surtout pour son syle blues rock qui déménage et ses performances live incroyables (tout comme Jimmy Hendrix il lui arrive de brûler ses guitares sur scène…) ; il revient à Guitare en scène avec un nouvel album. Après avoir remporté les tremplins 2013, les Fribourgeois de Dirty Sound Magnet feront également leur retour sur la grande scène !
Enfin dimanche 20 juillet le festival a l’immense honneur d’accueillir la légende du hard-rock, Deep Purple ! Ce groupe mythique a traversé les époques notamment grâce à son tube planétaire “Smoke on the water” et continu, encore aujourd’hui, de sillonner les scènes du monde entier avec son dernier album “Now What ?”. Une autre star mythique sera également présente en la personne d’Uli Jon Roth, le fondateur de Scorpions et le parrain de cette édition 2014.
A leurs côtés pour ce dernier jour, vous pourrez retrouver l’Américain Ladell McLin, qui s’inspire du blues traditionnel. Vous pourrez aussi découvrir le quintet explosif et multi-culturel de la chanteuse trinidadienne Z-Star, dont la voix soul à la Nina Simone et les prestations scéniques à la Jim Morrison suscitent l’admiration de ses pairs. Enfin, le blues urbain et électrique de Manu Lanvin & the Devil Blues marquera Guitare à scène 2014. Cet artiste est entrain de se faire une place parmi les grands bluesmen de sa génération. Une soirée qui promet encore une fois de grands moments de guitare et des rencontres artistiques exceptionnelles puisqu’une jam phénoménale s’annonce déjà. Une jam surprise phénoménale comme seul Guitare en scène les propose depuis huit ans.
Les billets et pass trois jours pour le festival sont en vente depuis le vendredi 17 janvier à midi sur le site Internet : www.guitare-en-scene.com. La jauge étant limitée à 5 000 personnes par soir, les organisateurs vous conseillent de prendre vos places au plus vite.

GUITARE EN SCENE 2014: Deep Purple, Blues & Rock n' Roll !

 

MONTE-CARLO ROLEX MASTERS 2014

Wawrinka Beats Federer For First Masters 1000 Crown

In the first all-Swiss final for 14 years on the ATP World Tour, Stanislas Wawrinka defeated Roger Federer 4-6, 7-6(5), 6-2 in the final of the Monte-Carlo Rolex Masters.

The 29-year-old Wawrinka captured his first ATP World Tour Masters 1000 title, having previously finished runner-up in Rome 2008 (l. to Djokovic) and Madrid last year (l. to Nadal). With his semi-final victory over David Ferrer Saturday, the Swiss became the 11th active player to record 100 ATP Masters 1000 match wins.

Wawrinka is the 59th different winner of an ATP World Tour Masters 1000 tournament, breaking up the domination of the ‘Big Four’. In 34 of the past 36 Masters 1000 tournaments, the trophy had been lifted by one of either Rafael Nadal, Novak Djokovic, Federer or Andy Murray. The only exceptions came at the BNP Paribas Masters in 2010 (Robin Soderling) and 2012 (Ferrer).

“It’s always special to play Roger,” said Wawrinka. “We know it’s always a strange match, especially being in the final here. He’s my best friend on the tour. We respect each other so much. I’m just trying on the court to win the match. Before and after, we are still very good friends. During the match, we just try everything to win. Today I’m really happy to take that one.
“I can see that when mentally I’m there and I’m fighting, I can play tennis, I can beat all the player. I did an amazing job. I’m really happy after winning my first Grand Slam to win a Masters 1000 so quick. I didn’t expect to. When I came here, for me it was more like a test. I knew I was playing good tennis, but I didn’t expect to win because the draw was so strong.”

Read: How The Final Was Won

It was just Wawrinka’s second win in 15 meetings with Federer (2-13 FedEx ATP Head2Head series). His other victory over Federer also came at the Monte-Carlo Country Club, five years ago.

“Of course, I’m very happy for Stan,” said Federer. “It’s a huge win for him after winning his first Grand Slam this year, also to win his first Masters 1000. To take the opportunities when they’re there, that’s key in a tennis player’s career. So I’m very happy for him.”

As victor, Wawrinka received 1000 Emirates ATP Ranking points and $549,000 in prize money. He was presented with the trophy by His Serene Highness Prince Albert II of Monaco and Princess Charlene of Monaco.
Victory for Wawrinka sees the Lausanne native maintain his grip on World No. 3 in the Emirates ATP Rankings. On Monday, he will leapfrog Nadal, Djokovic and Federer to rise to No. 1 in the Emirates ATP Race To London, which is based solely on results this season.
The top eight in the Emirates ATP Race To London at the end of the regular season will qualify for the Barclays ATP World Tour Finals. Wawrinka qualified for the elite season finale for the first time last year, reaching the semi-finals (l. to Djokovic).
Wawrinka becomes the first player this season to win three tour-level titles, adding to victories in Chennai (d. Roger-Vasselin) and at the Australian Open, where he defeated Nadal to win his first Grand Slam championship.

The 32-year-old Federer was looking to win the elusive Monte-Carlo trophy for the first time after finishing runner-up to Nadal three times from 2006-’08. The Swiss has won 21 ATP World Tour Masters 1000 titles, with his last triumph coming in August 2012 in Cincinnati.

“I think it’s one of the those finals that I could have won,” said Federer. “But Stan was tougher at the end. I think he deserved it just a little bit more. Clearly it would have been nice to win that second set tie-break. I didn’t necessarily play a bad one, but also at the same time I didn’t quite ever get into the lead where things went my way.

“I would have loved to have won a second title [this season] because I’ve come close a few times. That’s my next objective, that I get to the very end more frequently. But clearly I’m happy that the clay court season started so well for me.

RED BULL X-FIGHTERS : SHERWOOD DOMINE A OSAKA

Levi Sherwood s’offre une deuxième victoire d’affilée en 2014. Rémi Bizouard peut avoir des regrets.

Rémi Bizouard s’est imposé face à Dany Torres lors des demi-finales au Château d’Osaka. Mais malgré de  gros jumps dans la dernière manche, le Français n’a pas réussi à égaler sa dernière performance. Il laisse la victoire au Néo-Zélandais Levi Sherwood, déjà vainqueur de l’étape à Mexico du Red Bull X-Fighters World Championship.

Donne tout ce que t’as et fais-toi plaisir

– Levi Sherwood sur sa réussite en 2014

Bien qu’il ait été un peu plus prudent dans l’exécution de ses figures, Sherwood a tout de même réussi quelques magnifiques tricks et fait vibrer la foule avec un Backflip Double Air Indian Grab, puis un No-Handed Superman juste après le coup de buzz final, alors que la victoire lui était presque assurée.
C’était bien vu. Les juges ont attribué à Sherwood les meilleures notes pour la variété, l’exécution, le style, la course et l’énergie déployée.

Levi Sherwood en qualification aux Red Bull X-Fighters d'Osaka.

Avec deux victoires sur deux cette année, quel est donc le secret de Sherwood pour réussir un tel come-back en 2014 ? Sa réponse est simple : “Donne tout ce que t’as et fais-toi plaisir ! “.

À côté de cela, il nous faudra attendre le prochain stop à Madrid pour voir Tom Pagès réaliser le tout premier Bike Flip en compétition. Le tenant du titre avait décidé de ne pas participer aux finales aujourd’hui.

Retrouvez les meilleures photos et vidéos des Red Bull X-Fighters à Osaka sur le site et bien plus encore, sur RedBullxfighters.com.

Le top 3 des Red Bull X-Fighters 2014 d’Osaka :

1) Levi Sherwood (NZL) 2) Rémi Bizouard (FRA) 3) Dany Torres (SPA)

Le classement général du Red Bull X-Fighters World Championship 2014 :

1) Levi Sherwood (NZL) – 100 pts 2) Rémi Bizouard (FRA) – 80 pts 3) Josh Sheehan (AUS) – 80 pts 4) Dany Torres (SPA) – 65 pts 5) Rob Adelberg (AUS) – 55 pts 6) Adam Jones (USA) – 55 pts

SNOOKER : MARK SELBY ON TOP OF THE WORLD

Selby produced an astonishing fight-back to win 13 of the last 17 frames and inflict O’Sullivan’s first world final defeat on the five time champion.

O’Sullivan was looking for a third consecutive crown and appeared to be cruising when he led 8-3 and 10-5 on Sunday. But Selby rallied to 10-7 overnight then won five of the six frames in the third session as O’Sullivan, uncharacteristically, crumbed under the intense pressure.

And Leicester’s 30-year-old Selby produced his best snooker of the match in the concluding session, winning the last three frames and sealing victory with a stunning clearance. He goes home with the trophy and a record £300,000 top prize, which makes him world number one on the new money list.

Since reaching his first Crucible final in 2007 – when he lost to John Higgins – Selby has become one of snooker’s most consistent competitors, enjoying previous spells at the top of the rankings and winning the Masters three times as well as the UK Championship. The world title was the one glaring omission on his CV, but he now has his name engraved on the sport’s most famous piece of silverwere.

The best safety player in the world, he also produced nerveless breaks at key moments throughout the Championship, notably in the deciding frame of a 10-9 first round win over Michael White, and in the last session of his superb 17-14 victory over world number one Neil Robertson in the semi-finals.

Selby becomes the ninth player in snooker history to win the Triple Crown of major titles, joining Steve Davis, Stephen Hendry, John Higgins, Ronnie O’Sullivan, Mark Williams, Terry Griffiths, Alex Higgins and Neil Robertson. He was runner-up in both the UK and the Masters this season – thrashed 10-4 by O’Sullivan in the latter – but picked the perfect moment to win his first ranking title of the campaign and fourth of his career.

O’Sullivan’s long unbeaten spell in Sheffield came to an end after winning 14 consecutive matches. He was denied the sixth world title of his career, which would have brought him level with Steve Davis and within one of Stephen Hendry’s record.

The Rocket, who had won his quarter and semi-final matches with a session to spare, was a huge odds-on favourite for the title when he led 10-5. But he lost all confidence and fluency in the third session, and despite dressing room huddles with psychiatrist Steve Peters, he was unable to regain his rhythm.

Trailing 12-11 going into the final session, O’Sullivan started strongly tonight with a break of 100, his 13th century of the tournament. But a missed black on 24 in the next stopped him from gathering momentum as Selby ground out that frame to regain the lead.

Runs of 23 and 25 helped Selby gain control of frame 26 and he sealed it by potting the pink after his opponent failed to gain the snooker he needed. And safety errors from O’Sullivan in the 27th gave Selby the opportunity to make 56 and extend his lead to 15-12 at the interval.

O’Sullivan took the next in two scoring visits, then made a stunning 37 clearance in frame 29, highlighted by a drilled yellow down the length of a side cushion.

But Selby wrestled back the initiative emphatically, making a 127 – his only century of the final – followed by an 87 to lead 17-14.

O’Sullivan looked certain to pull one back until he ran out of position at 56-0 in the next. Selby clawed back to within 29 points with one red left. And when his chance came, he proved himself a true champion. A long red was followed by a series of terrific pots, particularly the green which was close to the top cushion, as he cleared the table to capture the title.

“It hasn’t sunk in yet,” admitted Selby after winning the final watched by stars including actor Stephen Fry, darts supremo Phil Taylor, Iron Maiden drummer Nico McBrain and Muse frontman Matthew Bellamy. “In the next few days it will definitely settle in. To come through playing Ronnie in the final, it’s a dream come true if you’re going to win your first world title.

“At 8-3 down, I knew Ronnie is one of the best front-runners in the world and I was just not playing well at all. I had my chances but kept missing and Ronnie was taking advantage most of the time. A couple of times he missed and I just kept digging in and nicking a few frames.

“To get out 10-7 down yesterday, I felt I was winning 10-7. I was physically and mentally tired yesterday – the same as when I got to the final seven years ago against John Higgins. Ronnie outplayed me yesterday and I was still only 10-7 behind and I still felt I hadn’t turned up.

“All tournament I’ve felt confident and I knew if I got a chances I felt like I was going to score even though I didn’t yesterday. Ronnie came back to 15-14 and asked me the question, and I probably played my best snooker of the match in those last three frames.

“My father passed away with cancer when I was 16, two months before I turned professional, and his last words to me were ‘I want you to become World Champion’. I said to him I will be one day it’s just a matter of when not if.

“There have been a lot of people in my life that have helped my through. Willie Thorne’s brother, Malcolm, who sadly passed away a few years ago, spotted me when I used to go to Willie’s club. He put me on the right track and sponsored me for a few years before I turned professional so I owe a lot to him and I’m sure he and my father were looking down smiling as I lifted that trophy.”

O’Sullivan said: “I want to congratulate Mark on a brilliant match and a brilliant tournament. I tried my hardest but he was just too good.

“As a top snooker player you accept the losses with the wins, you can’t have it your own way all the time. I’ve had some great victories here but losing is part of the sport and you’ve just got to accept that it’s part and parcel of it. You have to go away and lick your wounds and go one better next time.

“It wasn’t the most free-flowing match. There were a lot of safety bouts and I just got dragged into it. I tried to make something happen and open the balls up a few times but when you’re forcing something to happen, it never quite happens.

“Everything I did he just had an answer for and I was finding it hard to put any momentum together. At some points I felt a bit numb out there because I was sat in my chair for long periods of time.”

COUPE DAVIS 2014

La Suisse a souffert pour s’imposer malgré son rôle de grande favorite de la rencontre, mais elle a fini par l’emporter 3-2 face au Kazakhstan. Après cette victoire obtenue de haute lutte, dirigeants et joueurs helvétiques sont venus s’exprimer face aux médias afin de dire leur fierté et leur joie d’avoir accompli leur tâche. Ils se sont naturellement aussi follement réjouis de pouvoir accueillir à nouveau à domicile leur prochain adversaire en Coupe Davis, à savoir l’Italie du 12 au 14 septembre prochain.

Le premier à parler a été René Stammbach, président de Swiss Tennis. Accompagné de Jonas Maag, organisateur de l’événement, il a tenu à remercier les médias de leur soutien durant toute la semaine et surtout dit son émotion: “Avec ce public, cette ambiance et cette rencontre gagnée aussi difficilement, c’est le moment le plus fort que j’ai vécu depuis 28 ans que je m’occupe de la Coupe Davis.”

Ne sachant que depuis très peu de temps que la Suisse était qualifiée pour accueillir l’Italie en demi-finale en septembre, René Stammbach n’a pas pu donner de détails sur le bénéficie financier réalisé par la fédération à l’occasion de cette rencontre face au Kazakhstan et il n’a pas non plus été plus précis sur le futur lieu de déroulement du match contre les Italiens: “Nous avons pré-réservé Palexpo, où nous pourrions accueillir encore un tout petit peu plus de spectateurs, mais nous allons étudier toutes les candidatures, et ce sont surtout le capitaine et les joueurs qui ont leur mot à dire sur ce choix.”

Severin Lüthi a précisément succédé au président de la fédération avec ses protégés Federer et Wawrinka mais le capitaine helvétique n’a pas voulu en dire plus: “Nous n’en avons pas encore discuté.” Cela a été l’occasion pour les trois protagonistes de plaisanter un peu avec la presse, l’ambiance étant de toute évidence très détendue. Federer a même interrogé en souriant celui qui est son coach sur le circuit: “Mais où est-ce que tu jouerais toi si tu étais joueur?”.

On a demandé également aux protagonistes comment ils avaient géré cette situation d’être menés 1-2 après le double alors qu’ils étaient grands favoris, et Roger Federer a répondu que c’est en toute sérénité qu’ils sont parvenus à s’en sortir: “Il fallait avant tout rester calmes et nous avons réussi à le faire.” Il est certain aussi que le fait d’avoir renversé la vapeur dans ces circonstances va servir à l’avenir l’équipe de Suisse, désormais certaine qu’elle peut assumer les situations les plus difficiles.

Stanislas Wawrinka et Roger Federer ont ensuite évoqué la formidable ambiance qui a régné à Palexpo durant les trois jours de compétition: “On ne peut que dire un tout grand merci aux spectateurs.” Ils ont précisé que ce sont eux qui avaient désiré avoir de la musique aux pauses, interventions qui ont été supprimées à la demande des supporters le dimanche. “On ne voulait pas que les fans se fatiguent trop la voix les deux premiers jours. Ils ont tout donné le dernier et c’était super”, a dit ainsi en riant Federer à ce sujet. De façon unanime, ils ont reconnu avoir vécu ce week-end à Genève leurs plus fortes émotions en Coupe Davis. “Avec le match de barrage remporté en Australie il y a deux ans”, a ajouté Wawrinka. “Avec la rencontre jouée à Lausanne contre la Belgique juste après notre médaille d’or olympique en double à Pékin en 2008″, a ajouté Federer. “Mais il y avait moins de suspense!”, a conclu Wawrinka.

Pour finir, Roger Federer a exprimé son souhait que toute l’équipe reste en bonne santé jusqu’en septembre afin que la Suisse ait les meilleures chances d’atteindre la finale de la Coupe Davis, un événement qu’il n’a jamais encore eu l’occasion de vivre au cours de sa prestigieuse carrière.

 

 

 

SALON DE L’AUTO 2014

C’est une exposition exceptionnelle que le 84e Salon International de l’Automobile de Genève proposera, du 6 au 16 mars prochain, aux quelque 700’000 visiteurs attendus dans les halles de Palexpo. Avec la collaboration de l’ACO (Automobile Club de l’Ouest), organisateur des 24 Heures du Mans, et le soutien de Rolex, chronométreur officiel, seront réunies une vingtaine de voitures ayant marqué l’histoire de ce qui reste la plus grande course automobile du monde.
Ces véritables joyaux mécaniques quitteront provisoirement le Musée Automobile de la Sarthe, ou les collections privées auxquelles elles appartiennent, pour célébrer une épreuve qui fêtera les 14 et 15 juin prochain sa 82e édition. Ce qui reste le plus impitoyable banc d’essais des technologies du futur proposera d’ailleurs une affiche particulièrement alléchante puisque Porsche – avec un tout nouveau prototype Hybride – fera son grand retour au Mans pour se mêler au duel Audi – Toyota de ces dernières années, alors que des prototypes 100% électriques ou à hydrogène se préparent à affronter bientôt le circuit de 13,6 km qui accueille bon an mal an quelque 250’000 spectateurs pour son épreuve-reine.

L’évènement sportif mondial No1
Créée en 1923 à l’initiative de l’ACO, cette première grande manifestation automobile longue durée est devenue, au fil des années et des exploits – mais aussi des drames – un rendez-vous incontournable. Au même titre que le GP de Monaco de Formule 1, le Rallye Monte-Carlo ou les 500 Miles d’Indianapolis, le grand marathon mécanique de la Sarthe s’est élevé au rang de véritable mythe, de par son format évocateur, sur deux tours d’horloge, et l’intensité d’une compétition devenue légendaire. En 2012, un sondage de la prestigieuse société Américaine National Geographic plaçait même les « 24 Heures du Mans » en tête de tous les évènements sportifs mondiaux, devant les Jeux Olympiques ou la Coupe du Monde de Football.

A la rencontre du mythe
Rares sont les écuries ou les constructeurs automobiles, les accessoiristes, les sponsors et bien évidemment les pilotes, à être restés insensibles à l’attrait d’un éventuel triomphe au Mans. Ce n’est pas un hasard si les plus grands s’y sont imposés, et c’est ce fabuleux voyage dans le temps, à la rencontre des noms qui ont écrit l’histoire du Mans et de l’automobile, qui est offert sur un grand espace de 1800 m2 dans la nouvelle halle 3 de Palexpo. De la Chenard&Walcker victorieuse de la première édition, en 1923, à la formidable Audi R18 E-Tron Quattro Hybride, dernière gagnante en titre, en passant par les inoubliables Bentley Speed Six, Ferrari 166MM, Jaguar (D et XJR9), Ford GT40, Matra 670, Porsche (917, 956, et GT1) ou encore Peugeot (905 et 908), les voilà toutes réunies, entre autres, pour le plaisir des yeux et d’une évocation riche en souvenirs parfois exaltants.

Sauber Mercedes, Faessler, la Suisse qui gagne
La Suisse – qui a vu pas moins de 141 pilotes se qualifier pour prendre le départ des « 24 Heures », et 31 y fêter une victoire dans les diverses catégories de bolides acceptés – est d’ailleurs bien présente. Avec, en tête de liste, la Sauber Mercedes C9 tout droit sortie du musée de Hinwil, siège du constructeur Zurichois, qui permit à Mercedes de fêter un « doublé » retentissant en 1989, assortie des deux titres de Champion du monde (pilotes et constructeurs) la même année. Plus près de nous, l’Audi R18 E-Tron Quattro était co-pilotée en 2012 par le Schwitzois Marcel Faessler, premier – et unique – Suisse vainqueur au Mans (deux fois de suite, même), et sacré champion du monde. On n’oubliera pas, pour l’anecdote, la Rondeau M379B – premier constructeur « privé » à remporter les 24 Heures du Mans, en 1980 – dont le moteur V8 Ford Cosworth de F1 sortait des ateliers du préparateur Vaudois Heini Mader, basé à Gland.